Comme la plupart d'entre nous le savent, une mésaventure des moins banales a surgi de notre cher bâtiment scolaire
deux fois la semaine dernière pour vous offrir à tous un éclatant fou rire dont j'en suis moi même d'une part l'organisateur :
Cette mésaventure est arrivée à notre cher Oonra.
Un petit résumé de l'histoire :
Nous, les cinquièmes (note pour les français : on est belge, donc on est en 2e pour vous^^), avions étude en même temps que les quatrièmes (en particulier notre cher Oonra). Nous étions passiblement assis sur la banquette de béton de notre petit préau scolaire, quand le soleil brillait et offrait à notre vue un sublîme spectacle : la pelouse fraîchement (en fait non^^) tondue se faisait sentir (toujours pas) à travers nos narines délicates. Les deuxièmes et troisièmes jouaient football tout en arrivant à caler leur ballon entre les barres du toit du préau. Tout à coup, comme surgi des lointaines entrailles de la terre (
), une odeur nauséabonde se fit ressentir. Notre cher Low dit alors ces quelques mots :
"Oh, diaule ! L'un de nous n'a point eu moulte chance !"
Chacun à son tour, nous regardâmes sous nos chaussures pour voire si la bêtise magistrale ne nous avait pas collé à la peau (=> ou aux chaussures). Nous ne pensions pas une seconde à notre cher Oonra. Dix minutes plus tard, nous nous étions levé pour parler de choses certes intéressantes, quand Oonra commença à s'essuyer la charentaise à un endroit ou une dalle n'était plus. Je demandai alors :
"Oh, mon cher, t'es-tu arrivé préjudice ?"
Il me répondit ceci :
"Je n'en jurerais point"
Et c'est à ce moment là que nous même, suivi d'autres quatrièmes, nous esclaffâmes comme des misanthropes !
La deuxième fois, c'était moins esclaffant, c'est pourquoi je n'ai pas besoin de vous la raconter
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Ce texte a été allégé en vocabulaire car la vraie histoire est un peu moins polie